Nom scientifique :
Ophrys sphegodes Mill. subsp. SphegodesCaractéristiques physiques principales :
De la famille des orchidées, l’Ophrys araignée mesure de 15 à 30 cm de haut.
Chaque hampe florale peut porter jusqu’à 6 fleurs mais n’en porte généralement que 2, 3 ou 4.
Les feuilles, situées à la base de la plante (comme dans tout le genre Ophrys).
La fleur comporte deux petits pétales latéraux plus étroits à bords ondulés-crénelés de couleur verdâtre à brunâtre.
Elle comporte aussi trois sépales verts : un sépale supérieur, central, et deux sépales latéraux disposés de façon symétrique. Les trois sépales sont regroupés en structure protégeant le « gynostème » (la colonne au centre de la fleur, composée des étamines soudées).
Ce qui caractérise surtout cette fleur est son labelle brun, de plus de 10 mm, trilobé, d’aspect velouté avec des marques bleutées ou violettes en forme de ‘H’ au centre de la partie supérieure du labelle, ce qui le fait ressembler à l’abdomen d’une araignée. On appelle ces marques « miroir » ou « macule ».
La macule forme un collier qui encadre le champ basal et qui se prolonge autour de la colonne du gynostème.
De chaque côté du champ basal, il y a deux petites boules luisantes, dont l’aspect globuleux et la couleur leur donnent l’aspect d’yeux, c’est pourquoi, on les appelle les « pseudo-yeux ».
C’est grâce à la morphologie spécifique du labelle et aux substances attractives émises, que la pollinisation se fait par l’abeille Andrena nigroaenea.
Chaque hampe florale peut porter jusqu’à 6 fleurs mais n’en porte généralement que 2, 3 ou 4.
Les feuilles, situées à la base de la plante (comme dans tout le genre Ophrys).
La fleur comporte deux petits pétales latéraux plus étroits à bords ondulés-crénelés de couleur verdâtre à brunâtre.
Elle comporte aussi trois sépales verts : un sépale supérieur, central, et deux sépales latéraux disposés de façon symétrique. Les trois sépales sont regroupés en structure protégeant le « gynostème » (la colonne au centre de la fleur, composée des étamines soudées).
Ce qui caractérise surtout cette fleur est son labelle brun, de plus de 10 mm, trilobé, d’aspect velouté avec des marques bleutées ou violettes en forme de ‘H’ au centre de la partie supérieure du labelle, ce qui le fait ressembler à l’abdomen d’une araignée. On appelle ces marques « miroir » ou « macule ».
La macule forme un collier qui encadre le champ basal et qui se prolonge autour de la colonne du gynostème.
De chaque côté du champ basal, il y a deux petites boules luisantes, dont l’aspect globuleux et la couleur leur donnent l’aspect d’yeux, c’est pourquoi, on les appelle les « pseudo-yeux ».
C’est grâce à la morphologie spécifique du labelle et aux substances attractives émises, que la pollinisation se fait par l’abeille Andrena nigroaenea.
